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Vers l’âge de 6ans, je m’amusais avec un piano pour enfant, un jouet. Je reproduisais des mélodies simples à l’oreille et jouais des morceaux à l’aide de numéros inscris dans le cahier fournit avec le clavier. Ce n’était probablement pas extraordinaire, surement pas du Mozart mais mes parents ont estimé que j’avais des compétences et que j’y portais un intérêt. Ils ont alors décidé de m’inscrire dans une école de musique. J’ai refusé jusqu’à mes 9ans où j’ai débuté l’apprentissage du piano et du solfège, un peu sous la contrainte. Deux ans plus tard, je décide moi-même d’apprendre la guitare. Ma formation de base est plutôt classique.
J’ai donc commencé contraint et aujourd’hui je ne peux plus m’en passer, la musique m’a accompagné et aidé même au niveau professionnel !
Mon 1er groupe se forme avec des amis du collège vers l’âge de 13ans. C’était des reprises et j’y étais guitariste/chanteur. Je m’aperçois rapidement que j’apprécie beaucoup le chant. Je me suis dirigé aussi assez rapidement vers la création, l’écriture et la composition musicale.
C’est au environ des mes 16ans que j’écris et joue dans mon 1er groupe de composition, groupe de punk/rock français appelé « Les Kings Of The Volaille ».
Aux alentours de mes 18ans, et entre autres groupes ponctuels, je monte un projet musical dont un des objectifs est la réalisation d’un double album. Il se nomme « Antlia ». La volonté de faire apparaître une dessinatrice sur scène, d’effectuer un parallèle entre la musique proposée et une bande dessinée, et l’idée plus générale d’y évoquer la notion de synesthésie en sont ses particularités. A ce moment, je m’intéresse et travaille aussi beaucoup les textes. L’album n’a pas aboutit mais le projet a donné lieu à plusieurs formations, une démo, des concerts et un festival remporté. C’étais un genre de rock alternatif particulier aux influences variés et évoluant au fil des formations.
Le projet s’épuise malgré un certain potentiel et je co-fonde un groupe d’électro pop-rock : « No Pulsation ». Quasi à l’opposé du précédent qui se voulait intimiste, rock avec une forme de douceur, de « vague à l’âme » et sans rechercher la conventionalité, « No puls’ » s’intéressait à l’auditeur, à l’accessibilité. Il recherchait dynamisme et pertinence. Via la structure et les caractéristiques de la pulsation bien en avant et rassurante, il devait attirer l’auditeur, le rassurer et lui permet d’entendre sans écouter. D’autres critères composaient ce duo tels qu’un second degré humoristique et un caractère visuel en référence aux jeux vidéos et au cinéma d’aventure… Le groupe permet la réalisation d’un EP, plusieurs concerts et festivals. Il s’essouffle également après des années, notamment parce qu’il y réside une sorte de réflexion permanente et de perfectionnisme peut être démesuré. Ces deux projets présentaient donc beaucoup de particularités et de règles officieuses et officielles.
En parallèle de ce type de travail musical accès sur la composition et relativement intellectualisé, j’intègre un groupe de cover spécial : « Le Club Dérathée » (nom qui fait référence au Club Dorothée). Il propose des reprises de séries, dessins animés et musiques humoristiques des années 80/90, réarrangées via divers styles : rock, métal, reggae, ska… Il compte de nombreux membres parfois des invités, effectue pas mal de scène et s’y montre dynamique avec de fortes interactions avec le public. J’y joue du clavier et les deuxièmes voix. J’y participe encore aujourd’hui. Il me permet de jouer en groupe et de travailler avec des musiciens de qualité (au-delà des éventuels apparences que peut renvoyer le caractère humoristique du groupe) et que j’apprécie en tant que personne (ce qui est important aussi).

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